Les Regards de l’ICART, 3e édition
L’lCART Paris, école des métiers de la culture et du marché de l’art, organise depuis 2019 une soirée compétitive dédiée au court métrage, qui prendra une forme digitale cette année.
C’est le jeudi 25 février que se déroulera la remise des prix des 3e Regards de l’ICART, parmi les films en compétition qui ont été soumis à un jury de dix membres, où l’on peut retrouver Nils Tavernier, la compositrice Béatrice Thiriet, Christine gendre d’UniFrance ou encore le critique de cinéma Axel Cadieux.
L’actrice Oulaya Amamara est quant à elle la marraine de cette manifestation qui n’aura pas lieu comme initialement prévu au cinéma Le Lincoln, proche des locaux de l’établissement, mais en ligne, on en devine aisément la raison.
La soirée permettra d’abord de voir les différents films, d’origines cinématographiques diverses (citons par exemple The Last Ferry from Grass Island de Linhan Zhang, qui se déroule à Taïwan, photo ci-dessus), mais aussi des entretiens avec les jurés et d’autres surprises promises.
Parmi les titres en lice, citons Numéro 10 de Florence Bamba, qui a déjà une jolie carrière derrière lui, le documentaire animé Folie dure, folie douce de Marine Laclotte ou Agape (visuel ci-dessous) et Migrants, des œuvres d’animation concoctées dans les cuisines de Rubika. Comme le principe des récompenses s’appuie sur une diversité de catégories préétablies, les meilleurs scénario et musique seront distingués en plus du meilleur film, tandis que des prix d’interprétation masculine et féminine seront également en jeu.
Parmi les comédien(ne)s présélectionné(e)s figurent le Flamand Wim Willaert, pour Ceci n’est pas une valise de Lou du Pontavice, et celle qui fut en 2018 la Bécassine de Bruno Podalydès, Emeline Bayard, nommée pour Hôtel des Grenades d’Elsa Thomas (photo ci-dessus). Six prix seront décernés au total, avec une dotation globale de 1 500 euros.
À lire aussi :
- La première des Regards de l’ICART, en 2019.
- Folie dure, folie douce, primé à Paris Courts devant début 2021.
