Tout Dijon à ses fenêtres !

C’est une étape immanquable sur ce véritable marathon des festivals de la période : Fenêtres sur courts débute, comme le veut la tradition, par sa soirée de gala à l’Auditorium de la Cité des Ducs de Bourgogne (le samedi 5 novembre à 20h), à travers sa compétition francophone “Humour et comédie” composée de deux programmes – avec entracte – où se succéderont Erratum, Palissade, Partir un jour, Bolide, Fanfare, Son altesse protocole – tous souvent évoqués dans nos actus – et une cohorte d’autres titres pas plus avares de drôlerie.

Le lendemain à 11h, ce sera le tour de la compétition régionale, au Cinéma Pathé de la Cité de la gastronomie, un endroit a priori engageant ! Parmi les 5 prétendants, deux histoires jurassiennes, La ventrière d’Anne-Sophie Bailly et Va dans les bois de Lucie Prost (photo de bandeau), ont déjà une belle carrière à leur actif.

La compétition européenne se déclinera ensuite sur 4 programmes, avec des œuvres venues de Belgique, de Croatie, d’Écosse, d’Espagne, de Finlande, de Grèce, de Hongrie, d’Italie, de Lituanie, des Pays-Bas, de Suède, de Suisse et même de Russie. Côté français, L’attente d’Alice Douard, Des tresses de Leïla Macaire (photo ci-dessus), Hors jeu de Sophie Martin et Le point de reprise de Nicolas Panay se trouveront notamment sur la ligne de départ.

Une série de séances spéciales de rencontres et d’ateliers – dont une masterclass de Mathieu Sapin sur le thème de “BD et cinéma” et une autre de Béatrice Thiriet sur la musique de film – jalonneront à leur tour la semaine, donc l’un des sommets sera la Nuit de l’animation, en trois parties. Sans oublier la fameuse section, également compétitive, “Zombie zomba”, dédié au cinéma de genre et comprenant le scandinave Night of the Living Dicks, d’Ilja Rautsi (photo ci-dessus).

À lire aussi :

- Le palmarès de Fenêtres sur courts 2021.

- Le Festival de Brest 2022, autre rendez-vous d’importance du moment.