Sourires de nuits d’été… à Cabourg, Contis et sur les Champs !
Rien que du bonheur lors des remises de prix des derniers festivals, notamment pour Valentine Cadic, Alice Douard et Geordy Couturiau.
L’attente d’Alice Douard a remporté il y a une dizaine de jours le Prix du meilleur court métrage au Festival de Cabourg. Une nouvelle réussite pour la réalisatrice d’Extrasystole, Les filles et Plein ouest, qui réunit cette fois un beau duo d’actrices, Clotilde Hesme et Laetitia Dosch, cette dernière étant précisément à l’honneur sur Brefcinema cette semaine à travers un focus de plusieurs films.
Les prix d’interprétation sont allés aux jeunes Clara Antoons et Andranic Manet pour La légère déviation des atomes d’Antoine Denis (photo ci-dessous). Et signalons aussi que du côté des longs, le prix du public est allé à Maria rêve, le premier long métrage de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller, auteurs du césarisé Pile poil. La sortie en salles du film est fixée au 28 septembre prochain.
À Contis, le palmarès 2022 aura été très féminin, et c’est mérité, avec un Grand prix attribué au délicieusement ouaté (et très drôle !) dernier film de Valentine Cadic, Les grandes vacances, tandis que Trois grains de gros sel d’Ingrid Chikhaoui (photo de bandeau), découvert à Clermont-Ferrand en début d’année, réalisait un beau triplé : Prix du public, Prix du jury jeunes et Mention spéciale du jury.
Too Rough de l’Écossais Sean Lionadh a pour sa part reçu le Prix spécial du jury et une mention du jury jeunes. Pour les courts métrages d’école, c’est La ventrière d’Anne-Sophie Bailly (un film en costumes se déroulant dans le Jura) qui a été distingué par le jury.
Autres lauriers distribués récemment, ceux du Champs-Élysées Film Festival, revenus côté français à La flûte enchantée de Geordy Couturiau(Grand prix du jury du meilleur court métrage français indépendant), avec un mention spéciale à l’animé et assez ou Au revoir Jérôme ! d’Adam Sillard, Gabrielle Selnet et Chloé Farr (visuel ci-dessus), et Séparation d’Aurélien Achache (Prix du public du meilleur court métrage français indépendant), qui met en scène un cosmonaute en apesanteur dans l’espace. Autant de films dont il sera à nouveau question, ici ou ailleurs, dans les mois qui viennent, c’est certain…
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