PIFFF, paf, pouf : une immersion dans le fantastique
Le 11e Paris International Fantastic Film Festival revient sur les grands boulevards, au Max-Linder, du 6 au 12 décembre, incluant toujours des courts métrages.
Sept jours d’horreur, d’épouvante et de bizarre, c’est ce qui se profile dans l’un des plus beaux cinéma de Paris, le Max-Linder Panorama, bien entendu, pour une nouvelle édition du Paris International Fantastic Film Festival.
Plein d’inédits, donc de découvertes en vue, notamment au sein de la compétition des longs métrages, ou seront présentés notamment le nouveau film de Lucile Hadzihalilovic, Earwig (photo ci-dessus), et – ce qui est plus surprenant – celui de Thomas Salvador La montagne, que le réalisateur et acteur a coécrit avec Naïla Guiguet.
Dans le cadre des séances cultes, on pourra voir ou revoir le Schizophrenia de Gerard Kargl, mais aussi Haute tension d’Alexandre Aja, avec Cécile de France – un film qui date d’une vingtaine d’années déjà – ou le finalement désormais assez rare Strange Days de Kathryn Bigelow, qui avait fait forte impression au milieu des années 1990.
Du côté des courts, uns sélection de productions françaises mettra aux prises 6 postulants au palmarès, parmi lesquels Colonie de Romain Daudet-Jahan (photo de bandeau) – sur un scénario co-signé par Marion Desseigne-Ravel – et L’homme à la Mercedes pourpre de Marine Levéel, avec Dominique Valadié (photo ci-dessus).
Une compétition internationale réunira 7 autres titres de plus, tant en fiction qu’en animation, en une séance interdite aux moins de 16 ans. Des œuvres venues d’Espagne (photo ci-dessus : No hay fantasmas de Nacho Solana), du Canada, des États-Unis, des Pays-Bas, de Belgique, du Royaume-Uni et même d’Iran.
À lire aussi :
- Sur le film précédent de Marine Levéel : La traction des pôles.
- Le palmarès de Court métrange 2022 (à Rennes).