Goyas et Magritte 2022
Les récompenses annuelles du cinéma espagnol et celles du cinéma belge francophone ont été décernées ces derniers jours.
Les résultats des Césars seront connus d’ici une dizaine de jours, la cérémonie 2022 se déroulant le vendredi 25 février en soirée, mais d’autres cinématographies ont déjà décerné leurs trophées. En Belgique, les Magritte ont récompensé, sur les catégories dévolues aux courts métrages, Sprötch de Xavier Seron en fiction (photo de bandeau), On est pas près d’être des super héros de Lia Bertels en animation (visuel ci-dessous) et Mother’s d’Hippolyte Leibovici du côté du documentaire. Soit trois films qui comptent de très belles carrières en festivals et se voient ainsi officiellement couronnés “à domicile”.
Tous deux réalisés par des cinéastes passés dans la période récente par le format court, Une vie démente d’Ann Sirot et Raphaël Balboni (meilleur film, scénario, acteur, actrice et second rôle masculin notamment) et Un monde de Laura Wandel (meilleur premier film, réalisation, montage, son, second rôle féminin, espoirs masculin et féminin) se sont partagés les prix.
Du côté de Madrid, les Goyas 2022 ont distingué Tótem loba de Verónica Echegui comme meilleur court de fiction (photo ci-dessus), Mama de Pablo de la Chica en documentaire et The Monkey de Lorenzo Degl’Innocenti et Xosé Zapata en animation (qui a donc battu Umbrellas d’Álvaro Robles et José Prats).
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