So Phare away !
Le 7e Festival Phare investira le Théâtre antique d’Arles en soirée aujourd’hui, demain et jeudi.
Le Festival Phare est entièrement dédié aux courts métrages et se tient dans un cadre somptueux, faut-il le rappeler, au cœur d’Arles, tandis que led très renommées Rencontres de la photographie y ont lieu en parallèle. Sur chacun des trois soirs, il y aura des “ciné-causeries” et des projections – évidemment – avec une remise de prix au final, suivie d’un ciné-concert donné par le DJ performer Prieur de la Marne, autour d’images de Pasolini, à l’occasion du centenaire de sa naissance.
La soirée d’ouverture sera placée sous le signe du rêve et celle du lendemain à l’animation, avec les films du MoPA, école installée dans la cité provençale. La compétition s’annonce en tout cas vive, avec des titres déjà rodés comme Les humains sont cons quand ils s’empilent de Laurène Fernandez, Asmahan la diva de Chloé Mazlo, Partir un jour d’Amélie Bonnin (photo ci-dessus), Son altesse protocole d’Aurélie Reinhorn, Little Berlin de Kate Mac Mullen ou encore Souvenir souvenir de Bastien Dubois (à voir sur Brefcinema pendant deux semaines encore). Moins connu (pour l’instant ?), Palissade de Pierrick Chopin (photo de bandeau) fera quelque peu fonctionner les zygomatiques.
Notons enfin que le festival a noué un partenariat avec le Prix Alice-Guy, qui récompense un court métrage signé d’une réalisatrice : il y aura le choix !
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- Partir un jour et Son altesse protocole primés à Clermont-Ferrand.
