Festivals 10/06/2022

Les romantiques ont toujours rendez-vous à Cabourg…

La 36e édition du Festival du film de Cabourg (15 au 19 juin) met en avant ses motifs habituels à travers les longs et les courts métrages sélectionnés.

La passion, l’amour et la rêverie demeurent au cœur du récit des films présentés au Festival du film de Cabourg, y compris au sein de sa compétition de courts métrages, qui mettra aux prises neuf titres, très récents pour certains : Coup de pompe de Sylvain Robineau (remarqué il y a quelques années avec Sabine et Le brame du cerf), Je joue Rodrigue de et avec Johann Dionnet (photo ci-dessous), L’attente d’Alice Douard (avec le duo Laetitia Dosch/Clotilde Hesme), La légère déviation des atomes d’Antoine Denis, La revanche de Vincent Zulawski, La samaritaine de Mary Arnaud (photo de bandeau), Sacré moteur de Lucie Clayssen et Antoine Michelet, Prudence Ledoux a le vent en poupe de Laura Piani, connue jusque-là comme scénariste, et Quand on aime il faut partir de Pablo Cotten et Joseph Rozé.

Par ailleurs, une sélection hors compétition, intitulée “Par amour de la musique” permettra de revoir l’animation assez folle qu’est Au revoir Jérôme ! d’Adam Sillard, Gabrielle Selnet et Chloé Farr, Hold Me Tight de Leoluna Robert-Tourneur, l’incontournable Partir un jour d’Amélie Bonnin, mais aussi les moins célèbres Pin pon de Baptiste Drapeau et Titou de Max Lesage.

Il y aura aussi naturellement beaucoup de longs métrages au programme, dont le premier d’Elena Lopez Riera, En agua (en compétition), et ceux de Thibault Segouin (Une comédie romantique) et du duo Lauriane Escaffre/Yvonnick Muller (Maria rêve, photo ci-dessus) en panorama, donc en lice pour le Prix du public. La clôture s’effectuera pour sa part sous les auspices d’Emmanuel Mouret et sa Chronique d’une liaison passagère, qui sortira en salles à la rentrée.

Christophe Chauville

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