La Fête du court métrage 2024 se rapproche !
La prochaine Fête du court métrage est déjà dans le viseur… Elle aura lieu cette année du 20 au 26 mars. Les diffuseurs de tous types peuvent y participer en puisant dans son riche catalogue, reflet du paysage pléthorique offert par le format.
Pour participer à la Fête du court métrage cette année, la démarche est la même pour les structures de diffusion de tous types de s’inscrire sur le portait dédié, pour une semaine encore, jusqu’au 14 février, pour ne pas rater l’occasion d’être partie prenante de cette programmation concernant près de 150 films courts.
En tête des programmes sont comme à l’habitude proposés clé en main ou sur un principe modulable, avec des exclusivités cinéma réservées aux exploitants. Au chapitre des “incontournables”, on savourera un programme intitulé “Le cinéma, c’est fantastique”, accessible dès 8 ans, avec du Méliès, du Segundo de Chomon ou du Fleischer !
“En haut de l’affiche”, un programme traditionnellement dédié aux comédiens et comédiennes familiers du court, permettra de croiser Ana Girardot (dans Hyperstition de Stéphane Chis et Maxime Chuchana, photo ci-dessus), Catherine Deneuve (dans Naissance d’une étoile de James Bort, vu sur Brefcinema), Mathieu Kassovitz (dans son propre film Fierrot le pou) ou encore le duo Bastien Bouillon/Judith Chemla (Guillaume à la dérive de Sylvain Dieuaide).
Les jeunes publics seront eux aussi à la fête, tout naturellement, au fil de plusieurs programmations spécifiques associant fiction, documentaire ou animation, avec entre autres L’école des facteurs de Jacques Tati, Entre deux sœurs de Anne-Sophie Gousset et Clément Céard, Bamboule d’Émilie Pigeard – visuel ci-dessous, Espace d’Éléonor Gilbert, Molii de Mourad Boudaoud, Hakim Zouhani, Carine May, Yassine Qnia, etc.
On ne ratera pas des focus dédiés au cinéma de La Réunion (avec le très beau Adieu les copains de Lawrence Valin et La course de Phaéton d’Aurélie Filain) et à la jeune création du continent africain (dont L’ombre des papillons, film d’animation signé de la franco-marocaine Sofia El Khyari, au sommaire de Bref 129), une sélection de films d’écoles (intitulée “Liberté à tout prix”, avec les animés The Soloists et La bestia).
Le volet modulable de l’opération se raccrochera, sur ce millésime, au train à grande vitesse des Jeux olympiques, à travers de nombreux films en lien avec le sport. Boniek et Platini de Jérémie Laurent, Jean est tombé amoureux de Romain Pham Roellet (actuellement disponible à notre catalogue, photo ci-dessus), Tennis Elbow de Vital Philippot, Bad Gones de Stéphane Demoustier, etc. Soit autant de titres connus de nos abonné(e)s !
N’oublions pas les films disponibles en unitaires, aisés à projeter sur tous les écrans. À savoir, entre beaucoup d’autres, Illustration : compostage d’Élise Auffray Les humains sont cons quand ils s’empilent de Laurène Fernandez, /Imagine d’Anna Apter (réalisé avec l’intelligence articielle) et L’immoral d’Ekin Koca (qui sera en outre à voir pour l’occasion sur notre plateforme).
Du côté du volet réservé aux salles de cinéma, le rire sera au rendez-vous, à la faveur de La vie au Canada de Frédéric Rosset, Fanfare de Léo Grandperret et Mon p’tit papa de Mahaut Adam, avec Anaïde Rozam, Jean-Luc Vincent et Martin Jauvat (photo ci-dessus). Le cinéma de genre sera également représenté, via l’incroyable A Kind of Testament de Stephen Vuillemin ou l’étrange Duos de Marion Defer.
Et même les illustrissimes Wallace et Gromit seront de la Fête cette année, grâce à deux moyens métrages présentés ensemble : Rasé de près et Un sacré pétrin (en VF).
Il faudra patienter encore un peu pour connaître les différents “Talents” constituant les figures de proue de cette édition, ainsi que l’identité de ses parrain/marraine.
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