Festivals 10/04/2024

Deux nouveaux rendez-vous parisiens pour le court

Ce sont de toutes jeunes manifestations qui ont lieu à partir de cette fin de semaine dans la capitale : le Festival international des jeunes acteurs/trices connaît sa première édition entre le 12 et le 20 avril et le Festival Paris in the Dark sa deuxième du 11 au 14.

Ouverture ce jeudi, le 11 avril, pour Paris in the Dark, deuxième édition, au Luminor/Hôtel de Ville, pour cinq jours consacrés au cinéma fantastique et horrifique, mais pas uniquement, la science-fiction, le thriller et la comédie noire étant également touchée des yeux. Des courts métrages français ou internationaux seront projetés dans ce cadre et une dizaine de prix seront décernés par un jury et le public, dimanche 14 à 22h.

Rats d’Alexis Caro, Croix de bois de David Moerman, Saint sacrifice de Jean-Claude Leblanc, Cut me if you can de Nicolas Polixene, Survival de Philippe Sfez, The French Kingdom de Matthieu Moerlen, Archive DPT de Nicolas Fauconnet et La diplomatie de l’éclipse de César Luton seront entre autres au rendez-vous de ce sabbat du cinéma de genre.

En parallèle et à proximité, à l’UGC Ciné Cité Les Halles, se déroulera le tout premier FIJA, à partir du vendredi 12. Une nouvelle manifestation qui ambitionne de devenir une rencontre annuelle pour la nouvelle génération d’acteurs et d’actrices, et où le court métrage tiendra une place très importante. 

25 films courts seront en compétition, parmi lesquels Adieu les copains de Lawrence Valin, Na marei de Léa Jade Horlier Premier mercredi du mois de Mélodie Adda et Adrien Rozé (photo de bandeau), Un bon garçon de Paul Vincent de Lestrade et Youssou et Malek de Simon Frenay. Et une quinzaine d’autres seront en outre présentés hors compétition.

Il y aura aussi des longs, par exemple Les trois fantastiques de Michaël Dichter, qui sortira en mai, Rivière d’Hugues Hariche (photo ci-dessus) – qui permet de retrouver Flavie Delangle, la Marlon du film éponyme de Jessica Palud (critique à lire ici) – et Excursion d’Una Gunjak, révélée dans le court il ya quelques années.

Christophe Chauville

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