Quand le court a du piment
C’est devenu son emblème et le signe d’une saveur à coup sûr bien corsée : le Festival international de courts métrages Paris Courts devant / Île de France aura lieu du 16 au 21 novembre à la Bibliothèque nationale de France, pour une 13e édition.
À Paris Courts devant, en plus des nombreuses sections de compétition (une quinzaine dans la globalité de la manifestation), soumises à un jury présidé cette année par Marie Gillain (à qui une masterclass sera dédiée le mardi 21 à 17h, juste avant la clôture et le plamarès), il y a aussi un Marché à l'attention des producteurs et on s'intéressera aussi désormais à la VR, aux séries digitales et aux films auto-produits.
Des concerts, des lectures de scénarios et de nombreuses rencontres sont prévus, après une ouverture qui aura mis à l'honneur, en musique, Bruno Coulais et ses élèves. Le jury de la critique délibérera en public le lundi 20 à 18h et les “Courts qui rendent heureux”, dorénavant emblématiques du festival, reviennent naturellement, samedi 18 à 16h (avec notamment Debout Kinshasa ! de Sébastien Maître et Rocambolesque de Loïc Nicoloff).
Autre temps fort de la semaine, la soirée spéciale “Ça tourne en Île-de-France !” investira le Grand Audi de la BnF dimanche soir, le 19, à 20h, en présence des réalisateurs.
Et au fait, tout est gratuit, dans la limite des places disponibles, mais c'est un “détail” à signaler tout particulièrement, il n'y a donc plus aucune excuse pour ne pas faire en sorte que les salles soient combles en l'honneur du court dûment pimenté !
Christophe Chauville
