Et PIAFF, revoilà de l’anim’ !

13e édition pour le PIAFF, en espérant que cela lui porte chance, après les difficultés de l’an dernier, partagées avec presque tous ses homologues. Et un nouveau lieu parisien – aussi prestigieux que légitime – accueillera le festival : le Studio des Ursulines.

8 programmes de courts métrages seront en compétition, avec une volonté affirmée de montrer toute la diversité des genres et des styles, du côté de l’expérimental y compris, c’est toujours à noter. 

Coup d’envoi vendredi 2 juin à 19h avec le premier des trois volets de la compétition pro, où l’on verra notamment Comme un fleuve de Sandra Desmazières et Le monde en soi de Sandrine Stoïanov et Jean-Charles Finck. Parmi leurs pairs, citons Les songes de Lhomme de Florent Morin, Liza de Bastien Dupriez, Chloé Van Herzeele d’Anne-Sophie Girault et Clémence Bouchereau (visuel ci-dessus) ou encore Rivages de Sophie Racine, également visible en ce moment sur Brefcinema.

En 3 séances se déploiera de même la compétition “études”, éminemment internationale, tandis que les aficionados de “clips et plus” se réjouiront d’une séance spéciale dimanche à 14h (avec le dernier travail d’Agnus Dei de Vergine Keaton), alors qu’une compétition “horizons” aura pris place la veille à la même heure. La clôture se tiendra le lundi 5 en soirée, avec quelques prix décernés, mais pas de Grand prix, “afin d’atténuer un peu l’esprit de compétition propre aux palmarès” selon l’équipe organisatrice.

Le film présenté en avant-première sera Archipel, le dernier né du Canadien Félix Dufour-Laperrière, récemment distingué d’une mention spéciale au Festival d’Annecy et procédé d’une excellente réputation (visuel ci-dessus).

À lire aussi :

- Le palmarès du Festival d’Annecy 2021.

- Sur Le tigre de Tasmanie de Vergine Keaton.