Court métrange : dans les étoiles !
Le Festival international du court métrage insolite et fantastique de Rennes, Court métrange, se déroule cette année du 21 septembre au 2 octobre, avec un prolongement en ligne et en se tournant pour l’occasion vers les mondes infinis et créatures du cosmos.
18e édition pour Court métrange, avec une ouverture officielle ce mercredi 21 septembre, précédant comme à l’habitude le début des compétitions un peu plus tard, soit le mardi 27, au cinéma Gaumont, devant lequel sera dressé le fameux Village métrange, centre névralgique de la manifestation. Une programmation spéciale sur notre plateforme s’y reliera en outre le même jour.
Comme les organisateurs conservent leur légendaire sens de la formule, la première séance sera intitulée “Star Maniac”, qui précédera notamment “Étranges desseins” (soit la traditionnelle séance 100% animation), “Les 401 coups” ou encore “Égoutte ton corps” !
Parmi les titres en lice, de multiples découvertes venues de tous les coins de cette si bizarroïde planète se profilent, mais on peut déjà citer Swallow the Universe de Nieto, La verrue de Sarah Lasry, Petit cogneur de Gilles Cuvelier (visuel ci-dessous), Lucienne dans un monde sans solitude de Geordy Couturiau (photo ci-dessus), Sierra de Sander Joon ou les déjà multi-primés et sud-américains Sidéral de Carlos Segundo et Bestia d’Hugo Covarrubias.
On attend aussi de pied ferme le nouveau film du duo d’auteurs de Dramonasc, vu par le passé sur Brefcinema : Harmony, de Céline Gailleurd et Olivier Bohler, avec un casting de premier choix réunissant Anthony Bajon, Noée Abita, Grégoire Colin et la sublime Alma Jodorowsky. Dans le mêm ordre d’idée, Skin & Bone d’Eli Powers permet de retrouver en tête d’affiche la désormais assez rare Amanda Seyfried (photo ci-dessous).
Du côté de la programmation des “longs métranges”, on découvrira ou reverra avec intérêt, sinon plaisir, L’homme qui venait d’ailleurs de Nicholas Roeg (avec David Bowie dans le rôle-titre), L’invasion des profanateurs version Philipp Kauffman ou encore l’indémodable Invasion Los Angeles de John Carpenter.
Des expositions, conférences, tables rondes et rencontres tourneront autour du motif générique de ce millésime – donc “Visions d’Outre-espace / Mondes infinis et créatures du cosmos”– dans différents lieux de la ville. Et la prolongation en ligne de ces singulières réjouissances durera une semaine supplémentaire, jusqu’au 9 octobre.
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